Otavalo, notre premiere ville Equatorienne.
Nous sommes partis de Cali avec la compagnie ExpresoBrasilia jusqu’à Ipiales à la frontiere. Le bus nous depose avant la frontiere et nous devons donc prendre un taxi qui nous depose à l’immigration pour indiquer aux autorités notre intention de quitter le territoire. Il n y a pas beaucoup de monde côté Colombie et nous n’attendons pas longtemps. Nous traversoms un pont qui fait office de frontiere entre Colombie et Equateur. Nous voila en Equateur et il faut à présent indiquer notre présence aux autorités Equatorienne sur ler territoire mais une longue queue nous attend… Apres avoir fait tamponner nos passeport nous devons reprendre un taxi qui nous deposera a la gare routiere de Tulcan avant de reprendre un bus direction Otavali. c est parti pour quelques heures et un contrôle anti narcotrafique. Les policiers verifient les papiers d’identité des occupants du bus et ne fait descendre que les personnes de couleurs pour vider leurs valises, sacs.. Noé n’y échappe pas mais les clients du bus s’impatientent alors demandent aux gens de remonter dans le bus. Au final, deux ou trois sacs ont ete fouillés et nous reprennons la route.
Nous arrivons à Otavalo et nous n’avions pas de reservation d hostel donc nous marchons pour en trouver un. Le soleil se couche en Equateur et nous sommes fatigués. Il est 20h quand nous decidons d’aller manger. C’est en sortant de l’hostel que nous remarquons la différence de culture entre la Colombie et l Equateur. Les gens nous semblent pas très acceuillant au premier abord et à 20h il n’y a plus personne dehors même les restaurants sont fermés… Nous finissons tout de meme pas trouver quelque chose d’ouvert. La vie Colombienne nous manque déjà car même dans les plus petits village nous pouvions sortir manger à n’importe quelle heure et il y avaiy toujours du monde dans les rues. Nous n’allons pas juger en une soirée et nous decidons de rentrer nous coucher. Au lendemain, nous decidons d’aller voir la Laguna de Cuicocha et au programme unerandonnée autour de la lagune. Nous avons fait 5 h de randonnée à plus de 3000 m d’altitude surement une mauvaise idee puisqu’à peine rentrer Marine tombe malade. L’altitude nous a joué un mauvais tour mais nous aurions dû attendre un ou deux jours pour faire cette randonnée. Le lendemain nous decidons de visiter la ville de jour, la ville est forcement plus peuplée de jour que de nuit mais les gens paraissent toujours aussi fermés. Nous profitons pour aller faire un tour dans un petit village à côté et gouter aux spécialités. Après le riz en Colombie nous voila au pays de la pomme de terre. Marine ne se sent toujours pas bien et nous avons prévu de prendre un bus le lendemain pour quito, malgré tout nous decidons de ne pas s’attarder plus longtemps car le charme de la ville n’a pas opéré.
Otavalo est connu pour son marché le samedi or nous y sommes alle en pleine semaine, cela vaut certainement le detour d’y aller un samedi.
On vit d'ailleurs 